Les éoliennes tournent à l’élégance du vent
Dans l’insouciance du temps…
Comme l’éolienne, tournons
A l’élégance, l’insouciance…
Dans les hautes profondeurs fraîches des terres
Les nuages fondent au blanc des airs
Un ciel à la couleur d’été
Bleu de vie spontanée
Les rayons percent en vagues d’étincelles
Diamant d’eau sous l’égide du soleil
La houle épouse le rocher
Au végétal d’une pierre exilée
Les pêcheurs et les mouettes
Montent silence en ballon de fête
Mon regard se porte plus loin
Une bâtisse se tient
Perchée et suspendue
Heureuse dans l’absolu
Deux petits canards baignent dans l’immensité
Deux corps d’azur enguirlandés
Seuls en place du monde
En flottaison qui comble
Quelques bateaux au passage, naviguant le grand large
Quelques hommes au rivage, au cours libre et sage
Parfum d’errance
Douce accoutumance
Pénètre la beauté
Jusqu’au ciel couché
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